Touche pas à ma Picardie : Ne baissons pas la garde !

Chers internautes,

Le succès remporté par la pétition « Touche pas à ma Picardie » (30 000 signatures à ce jour) montre l’attachement des Picards à leur Région et leur capacité à se mobiliser pour la défendre.

N’hésitez pas à vous rendre de nouveau sur le site www.touchepasamapicardie.fr

En effet, outre la pétition, vous y trouverez désormais un grand nombre d’informations et vous pourrez participer à un forum de discussion.

N’oubliez pas de diffuser cette adresse www.touchepasamapicardie.fr autour de vous.

L’avenir de la Picardie dépend de notre mobilisation.

Presse indéPicarde
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Communiqués de presse Assemblée nationale

Voici ci-joint 3 communiqués de presse.

I] À quand la loi des trois tiers ?
II] Guadeloupe et outre mer
III] Suppression de la TP

I] A QUAND LA LOI DES TROIS TIERS ?

Le Président de la République, pour tenter de tromper les inquiétudes de nos concitoyens, a annoncé une série de mesures aussi décevantes que provisoires. Elles se chiffrent à 2,6 milliards d'euros, alors que la fortune du patron d'Auchan dépasse 20 milliards et que les exonérations nouvelles de taxe professionnelle seront de 8 milliards d'euros!

Nicolas Sarkozy préfère réduire – petitement - l'impôt sur le revenu, le seul impôt progressif, pour mieux refuser de procéder à des baisses ciblées de TVA ou autres taxes qui s’appliquent à tous de manière uniforme.

Les chômeurs partiels seront envoyés se former, la formation servant ainsi d'activité de passe temps, au moment où le gouvernement décide de liquider l'AFPA, premier organisme de formation professionnelle. Le chef de l'État refuse d'augmenter le SMIC arguant que cela ne concernerait que 10% des salariés. Faut-il lui rappeler que le bouclier fiscal coûte à l'État plus de 800 millions d'euros, dont plus les deux tiers ne profitent qu'à.... 18 000 foyers!

Le relèvement du taux d'indemnisation du chômage partiel à 75% ne permettra pas à ceux qui perçoivent de petits salaires de vivre décemment. Il faut supprimer non seulement les bonus mais aussi les dividendes dans les entreprises qui ont recours au chômage partiel, pour indemniser mieux les salariés qui en sont victimes.

La question du partage des profits est urgente et fondamentale dans notre société, mais le Président la renvoie pourtant aux calendes grecques et Laurence Parisot ne veut pas en parler. C'est pourtant un problème de justice sociale. La part donnée aux actionnaires ne peut pas grimper indéfiniment, comme elle le fait depuis des années, au détriment de la portion congrue concédée aux salariés. C’est aussi un
problème économique aigu qui bloque le pouvoir d'achat, limite l'investissement productif, favorise la course aux crédits usuraires et nourrit les bulles spéculatives.

Les chiffres de l'INSEE sont clairs : 5,5% des profits pour les salariés, 42% pour les actionnaires. On est fort loin des trois tiers évoqués par Nicolas Sarkozy. Une loi s'impose dans les meilleurs délais pour assainir la situation en fixant un plancher d'un tiers pour les salariés.


II] GUADELOUPE ET OUTRE-MER :

IL FAUT UNE REPONSE IMMEDIATE AUX REVENDICATIONS
L’attitude méprisante du gouvernement à l’égard des salariés et des habitants de la Guadeloupe vient de faire un mort. Jacques Bino, syndicaliste CGT a été victime de ce refus d’entendre l’exaspération de tout un peuple dont les souffrances sont plus grandes encore en outre-mer qu’en métropole. La volonté du gouvernement de laisser pourrir la situation a conduit à une explosion sociale durable.

Avec les députés communistes et républicains, j’exige la tenue immédiate d’une concertation avec tous les partenaires sociaux. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités, le patronat doit cesser d’avoir les mains libres, un terme doit être mis au monopole économique. Il faut ouvrir immédiatement des négociations conduites par le Premier ministre pour répondre sans délai aux légitimes exigences de justice sociale, de baisse du coût de la vie, d’augmentation du pouvoir d’achat qui s’expriment depuis trois semaines en Guadeloupe.


III] LA SUPPRESSION DE LA TAXE PROFESSIONNELLE : UN COUP TERRIBLE PORTE A LA DEMOCRATIE, AUX SERVICES PUBLICS LOCAUX ET AU POUVOIR D’ACHAT DES MENAGES PROPOSITIONS DE MODERNISATION DE LA TP

Après la suppression de la part salariale dans l’assiette et le plafonnement de la cotisation à 3,5% de la valeur ajoutée, c’est désormais la suppression pure et simple de la taxe professionnelle que Nicolas Sarkozy vient d’annoncer.

Au motif de libérer l’innovation et l’investissement, le choix idéologique libéral du chef de l’Etat et du gouvernement exonère l’entreprise de toute responsabilité en terme de développement des territoires, tout comme les choix libéraux ont progressivement réduit l’impôt sur les sociétés dans tous les pays de l’Union Européenne.

Dans le droit fil de la réforme en cours des collectivités locales, le seul critère retenu est la compétitivité des territoires, avec la suppression de toutes contraintes au nom d’une « liberté de circulation et de valorisation des capitaux ».

C’est clair, en annonçant la suppression de la taxe professionnelle dès 2010 le Président de la République a répondu ainsi à la demande pressante du MEDEF et prive les collectivités locales de près de la moitié de leurs recettes fiscales utiles pour le développement de leurs services publics locaux.

La taxe professionnelle est actuellement le seul impôt qui établit un lien direct entre l’entreprise et son lieu d’implantation. Elle contribue ainsi à responsabiliser l’entreprise par rapport à la collectivité territoriale et aux populations. En échange les collectivités locales financent les investissements en infrastructures et services dont bénéficient les entreprises et leurs salariés.


Maxime GREMETZ
Député de la Somme
Président du groupe Communiste et Républicain
au Conseil Régional de Picardie


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UPJV : Communiqué de la Présidence

Communiqué de la Présidence

Comme il a été voté par les conseils de gestion des composantes (Sciences, IUFM, Histoire-Géographie, Langues) et par les conseils universitaires centraux (Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire, Conseil Scientifique, Conseil d'Administration), les maquettes de masterisation de la formation des enseignants ont été transmises à l'AERES par voie électronique le vendredi 13 février à 17h.

Par communiqué publié par l'AEF, à 17 h 56 le même vendredi 13 février, l'AERES a reporté au 31 mars 2009 le délai de dépôt des maquettes.

En conséquence, le Président de l'Université de Picardie Jules Verne a demandé et obtenu de l'AERES, le lundi 16 février, qu'elle surseoit à l'examen des maquettes transmises par l'UPJV.

En outre, ces maquettes n'ont pas été transmises, le lundi 16 février, à la Direction Générale de l'Enseignement Supérieur (DGES), comme elle l'avait demandé.

Le Président de l'Université de Picardie Jules Verne.

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Le zoo d’Amiens Métropole : nouvelle politique, nouvelle directrice, nouvelle mascotte

La mission culturelle du zoo

« L’accès à la culture sous toutes ses formes et la possibilité de pratiquer un art à quelque niveau que ce soit constituent, tout au long de la vie, un facteur éminent d’émancipation.

C’est en ouvrant le regard, en se frottant aux autres, en découvrant des formes symboliques, des représentations inconnues, que l’Homme cultive sa sensibilité, son désir de vivre et sa capacité d’être au monde !

Chaque équipement culturel métropolitain doit favoriser cet accès de tous à la culture. Le parc zoologique est, pour l’enfant, le premier contact avec la planète Terre dans sa plus grande dimension. Il a pour mission de faire découvrir les espèces animales, les continents où elles évoluent et de sensibiliser à l’écologie.

C’est une mission pleinement culturelle qui dépasse le divertissement et le loisir ; elle permet une réflexion sur le bien vivre ensemble. La dimension de la recherche scientifique du parc zoologique doit non seulement assurer la préservation des espèces mais aussi favoriser les échanges de savoirs. C’est là que les familles doivent trouver matière à parfaire et asseoir les bases d’une éducation ouverte sur le monde.

Le parc zoologique est un des éléments fondamentaux du lien social. Il participe au développement du jeune public, c’est le lieu des premiers questionnements sur le monde et les hommes qui le composent. Le parc zoologique doit susciter les premières émotions, les premiers émerveillements. »


Alain David, vice-président d’Amiens Métropole en charge de la culture et du parc zoologique.




Une nouvelle directrice : Carinne Dos Santos

Directrice du parc zoologique d’Amiens Métropole depuis octobre 2008
34 ans

Parcours professionnel

2005 - 2008 : Responsable de la gestion de la deuxième plus grande réserve naturelle de France : celle des marais de Kaw-Roura (Guyane).

2003 - 2005 : Participation à un projet de protection de l’Antilope Roanne au département de biologie moléculaire de l’université de Stellenbosch, en Afrique du Sud.

Formation :

Titulaire d’un Master en gestion de la Biodiversité.
Maîtrise de biologie des populations et des écosystèmes

Projets :

« Allier biodiversité et sensibilisation des publics à la conservation des espèces menacées »

Outre les travaux indispensables de mise aux normes du parc zoologique, Carinne Dos Santos souhaite mobiliser son équipe autour de deux thématiques principales :

- la première thématique, scientifique, est liée à la conservation de la biodiversité. Carinne Dos Santos veut insister sur l’implication des parcs zoologiques dans les projets de sauvegarde des espèces menacées en milieu naturel.

- la seconde thématique est davantage liée à la dimension culturelle et pédagogique du zoo. La nouvelle directrice souligne que le zoo a une véritable mission de sensibilisation des publics à l’environnement et à la protection de la nature. Un parc animalier est un excellent support pour sensibiliser au développement durable.

Dans cet objectif, Carinne Dos Santos souhaite développer des partenariats scientifiques et culturels tout en présentant des scènes de vie animale dans un cadre aussi attentif au bien-être animal qu’à la satisfaction et à la sécurité du public et des agents.

L’objectif poursuivi est l’harmonisation des trois mots d’ordre des parcs zoologiques modernes : conservation, éducation et recherche.


Zoo’Am : la mascotte du zoo est née !

Le zoo d’Amiens est heureux de vous présenter Zoo’Am (prononcez Zouam), la mascotte de son service pédagogique. Un garçon de 55 kg pour 1,70m, né de l’imagination de l’illustrateur Frank Pé et qui guidera désormais le jeune public lors des animations mises en place toute l’année.

Grâce à Zoo’Am, les animations du zoo bénéficieront désormais d’un repère visuel très caractéristique.

L’histoire de Zoo’Am


Lors du week-end de Pâques 2008, les visiteurs du zoo ont découvert un œuf étrange, de taille peu commune. Un jeu de piste leur a permis d’amener les éléments indispensables à la survie de l’animal qui allait naître de cet œuf. Le but était d’aménager un enclos qui réponde à ses besoins sans savoir quel serait cet animal.

L’objectif pédagogique de ce jeu de piste était d’apprendre que, quelles que soient les espèces, toutes ont des besoins fondamentaux : de l’eau potable, de la nourriture adaptée, un abri et un partenaire pour la reproduction.

Cet animal, les visiteurs vont le découvrir lors des animations du week-end de Pâques 2009 : Zoo’Am sera au cœur d’un nouveau jeu de piste.

Ni oiseau, ni mammifère, ni reptile, Zoo’Am est une créature sympathique qui possède des caractères physiques de toutes les classes animales, ou presque.

Il ne manque plus qu’à lui trouver un partenaire de son espèce ! Or, il ne peut pas se reproduire et appartient à une espèce en voie de disparition…

Le but pédagogique du jeu de Pâques sera de montrer aux visiteurs comment on se procure les animaux en parc zoologique : comment ils sont choisis, comment ils sont transportés, d’où viennent-ils…

Frank Pé a décliné le personnage dans plusieurs humeurs et positions (18 illustrations au total).

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Lettre des membres de la communauté scolaire du Lycée La Hotoie d'Amiens à Richard Descoings

Monsieur Descoings,

Dans le cadre de la mission qui vous a été assignée par Monsieur le Ministre de l'Éducation Nationale sur la réforme des lycées, vous venez nous voir et nous en sommes touchés mais que venez vous constater ?...

Sans doute que nous sommes devenus un lycée de deuxième zone...dans laquelle la mixité sociale a été insidieusement mais sciemment écartée. En effet, la mise en place du projet Ambition Réussite a favorisé la fuite des meilleurs élèves de nos collèges de recrutement vers des établissements mieux dotés. À cela s'ajoutent la carte des options « sélectives » classes européennes, Abibac, langues rares, dont nous avons été écartés et enfin l'abandon de la carte scolaire qui viendra enterrer définitivement l'espoir de retrouver un recrutement de classes sociales hétérogènes qui aurait pu nous permettre de retrouver un peu d'élan et de confiance.

Enfin aujourd'hui voient se conjuguer deux rencontres importantes :
votre venue ce matin et votre désir de nous consulter sur nos projets (nous en avons toujours eu dans cet établissement, j'y reviendrai après), sur les idées que nous pourrions avoir pour améliorer nos résultats au baccalauréat par exemple...

Mais il se trouve que ce soir a lieu aussi le CA où nous allons devoir nous opposer à la répartition de la DGH de notre chef d'établissement puisqu'elle prévoit la fermeture d'une nouvelle classe de seconde (la 4è en 6 ans) et la suppression de quatre postes... cela veut dire que nous aurons environ 33 élèves en seconde et que nous verrons à terme se fermer par ricochet d'autres classes de première.

Nous avons déjà perdu une première L cette année ce n'est pourtant pas parce que nous manquions de projets pour la nourrir : en effet nous proposons à nos élèves un panel extraordinaire d'options artistiques (arts plastiques, cinéma, audiovisuel, théâtre, arts du cirque, atelier de danse contemporaine ) assorti de PEC, de projets transdisciplinaires, de projets européens Coménius, de sorties pédagogiques et culturelles multiples. Les professeurs d'anglais ont été les premiers à expérimenter les groupes de compétences.

Par ailleurs, nous accueillons des sportifs de haut niveau, nous venons de voir se rattacher à notre lycée la section professionnelle du Lycée Hôtelier... Des projets nous en avons mais nous avons besoin de moyens pour les appliquer et le ministre qui vous mandate nous les retire donc...
Vous conviendrez qu'à moins d'être totalement incohérents ou totalement dupes, nous ne pouvons envisager d'être réellement entendus, le buffet convivial ne peut être que l'occasion d'avaler des mensonges supplémentaires dont nous avons soupe...

Si la réforme a été effectivement reportée comment peut-on nous demander dans le même temps de nous soumettre à son éventuelle expérimentation avec en compensation l'équivalent de cinq postes en HSE.

Les ficelles sont grosses et si visibles que nous ne pouvons souscrire à de telles tractations sans perdre en quelque sorte notre honnêteté d'enseignants républicains.

Des membres de la communauté scolaire du Lycée La Hotoie d'Amiens.

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18 février: conférence de presse au Zoo d'Amiens...

Mercredi 18 février

Alain David présente les projets du parc zoologique

Mercredi 18 février, à 14h, salon Jules Verne de l’Hôtel de Ville, Alain David, vice-président d’Amiens Métropole en charge de la culture et du parc zoologique, vous présentera les orientations qu’Amiens Métropole entend donner à cet équipement qui doit tenir toute sa place dans la politique culturelle de l’agglomération. Cette préoccupation, traduite dans l’intitulé même de la délégation de M. David, sera appliquée par la nouvelle directrice du parc, qui vous sera présentée ce jour. Vous découvrirez également la mascotte du zoo qui accompagnera les animations proposées toutes l’année.

Alexis Durand, Attaché de presse

03 22 97 40 99
03 22 97 43 24 (Sandrine Gandega)

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Communiqué de presse d'Olivier JARDÉ sur l'adoption de la proposition de loi visant à créer une allocation journalière d'accompagnement

Olivier JARDÉ, député Nouveau Centre de la Somme, se félicite de l'adoption de la proposition de loi, dont il était cosignataire, visant à créer une allocation journalière d'accompagnement des personnes en fin de vie.

Le vote à l'unanimité de ce texte est un signal fort en direction de toutes ces familles qui ont un proche en fin de vie. A cet égard, le député Nouveau Centre rappelle que leur nombre est considérable.

En effet, en 2005, 47% des personnes interrogées avaient déjà accompagné un proche en fin de vie. Les besoins sont donc énormes. S'il existe déjà un congé de solidarité qui est un dispositif unanimement salué, il souffre toutefois d'un défaut majeur : il ne prévoit pas de rémunération.

C'est à cela que remédie cette allocation qui permettra à toutes les familles, mêmes les plus modestes d'accompagner leur proche. C'est un devoir d'humanité de reconnaître un temps ultime de solidarité et cette allocation va y contribuer.

Vous pouvez consulter le site de l'Assemblée nationale àl'adresse suivante :
http://www.assemblee-nationale.fr

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Soirée Tango au Centre Culturel Léo Lagrange

Le Centre Culturel Léo Lagrange vous propose une soirée Tango proposée par l’association Samara Tango bal, théâtre, musique et danse


Tout public
Durée : environ 3 heures
Vendredi 27 février

Première partie
à 20h30

Seconde partie
à 22h

PENSEZ A RESERVER !

Découvrez le Tango argentin sous toutes ses formes (dansée, chantée, lue, regardée). A 20h30, Samara Tango vous propose un spectacle autour du chant, de textes de tango et de compositions originales du trio VHL.

A 22h, ouverture du bal !
La salle de spectacle se transforme en piste de danse, Agustina et Claudio font une démonstration de tango de spectacle puis les musiciens accompagnent le bal et l’initiation au tango argentin.

Une belle occasion de s’amuser en toute décontraction.

Avec la participation de :
> Les danseurs :
- Agustina Videla / Claudio Asprea

> Les musiciens :
- Trio VHL : G. Vallejo – piano / J-B Henry – bandonéon / R. Lecuyer – contrebasse
- Quintet SAMARATANGO : A. Pannet - chant et flûte / C. Bally - chant / S. Postel - percussions et accordéon / D. Catel - piano / G. Lavallard - violon / Dassou - régie

> Les comédiens :
Le Labothéâtre de La Soufflerie

Tarifs spectacle :
Première + deuxième partie

Plein tarif > 8 €

Tarifs réduits* > 5 € : adhérents Léo Lagrange ou autres structures mentionnées dans la brochure de saison 2008-2009, étudiants, - de 18 ans et groupe à partir de 10 personnes

> 3 € : demandeurs d’emploi, passeport culture et groupes scolaires

* tarifs attribués sur présentation d’une pièce justificative

Deuxième partie seule
Tarifs réduits appliqués

Renseignements / réservations au 03.22.92.39.11
Centre Culturel Léo Lagrange
12 place Vogel à Amiens
centreculturel-amiens@leolagrange.net

Retrouvez notre programmation culturelle sur :
http://www.agendaculturel.fr/

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